Tout d’abord, il est important de savoir que le virus se transmet principalement par aérosols et par les postillons, c’est d’ailleurs pour cela qu’il est si important de porter un masque. Le principal problème présent au début de cette pandémie était de détecter les malades car les symptômes varient très souvent. Ces dits symptômes peuvent s’apparenter à de la fièvre, toux, des maux de tête, des courbatures mais aussi des vomissements et pertes d’odorat. De plus, les chercheurs savent maintenant que ce virus peut se transmettre entre différentes personnes 48 heures avant l’apparition des différents symptômes, ce qui fait que le virus se propage comme une trainée de poudre.
Assurément, nous ne sommes plus au même point que l’année précédente. En effet, maintenant, les formes graves de l’épidémie sont beaucoup mieux traitées et les cas de patients en réanimations avec ventilation mécanique évités. Cela est possible grâce, en outre, aux corticoïdes, aux anticoagulants et à l’oxygénothérapie.
Il y a aussi une grande avancée dans la lutte contre le virus avec l’aide de la vaccination. Véritablement, les chercheurs ont fait preuve d’une grande rapidité afin de créer ces vaccins connus sous les noms d’AstraZeneca, Moderna ou bien Johnson&Johnson. Ces vaccins ont, en l’occurrence, permis de faire baisser les courbes de mortalités. En effet, selon une récente étude écossaise les personnes vaccinées auraient moins de risque de développer une forme grave du virus qui pourrait les entrainer à l’hôpital et/ou en réanimation.
Cependant, une question subsiste toujours dans l’esprit des populations : d’où provient le virus ?
Si dans un premier temps le pangolin était suspecté d’être le responsable de la pandémie il est maintenant écarté de tout soupçon. De ce fait, même une étude réalisée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) n’a pas permis d’obtenir plus de réponses. Parmi les différentes réponses possibles il y aurait la fuite d’un laboratoire ou bien la transmission par un animal encore non identifié. Il est pourtant primordial de comprendre d’où provient ce virus afin de prévenir un retour épidémique similaire futur.
Une autre question persiste dans l’esprit des scientifiques : quel est le nombre réel de personnes contaminées par le virus depuis son commencement ?
Assurément, il y a beaucoup de personnes qui ont contracté le virus mais n’ont pas été diagnostiqués tout comme les personnes asymptomatiques. De ce fait, il est alors évident que la proportion de personnes ayant déjà été infectées est nettement supérieur à la proportion actuelle.
Nous savons que toute épidémie est vouée à disparaître, mais quand est-il alors de la Covid-19 ?
