Comment se déroulent elles ?
Grace à une story Instagram, un homme adepte de ces soirées clandestines a pu nous en apprendre plus. Ces soirées se déroulent à base de DJ, boules à facettes, alcool et danse afin de recréer au plus proche de la réalité l’ambiance d’un club.
Les convives n’hésitent pas à poster des photos ou vidéos de ces soirées ainsi qu’à poster des stories sur les différents réseaux sociaux. Ensuite, chaque personne y va de son commentaire avec « Confinement party 3 » ou bien « One year, we need to celebrate ».
La police peut-elle rentrer ?
La police peut intervenir en cas de tapage nocturne. Cependant, s’il celle-ci souhaite prendre les fêtards sur le fait elle doit les surprendre pendant les périodes de couvre-feu, soit en 19 et 6 heures.
Il faut tout de même savoir que récemment de nombreuses soirées clandestines ont été interrompus par les forces de l’ordre pour motif de « mise en danger de la vie d’autrui ». Cette qualification est cependant fragile car elle doit, normalement, impliquer « un risque immédiat de mort ou de blessures graves ».
Les participants de ces soirées, comme ils ne peuvent se réunir à l’extérieur, le font donc dans des lieux clos. Mais cela est-ce une forme de rébellion ou une lassitude ?