Doit-on s’inquiète ?
Au Rwanda, une étude a été faite avec des enfants atteints de paludisme et la conclusion de l’étude a été que le parasite à l’origine de la maladie: le Plasmodium falciparum a muté et c’est cette mutation qui fait que les traitements jusqu’à ce jour qui était adapté pour soigner le paludisme deviennent inefficaces.
Sur tout le continent africain, le paludisme à cause de la mort de plus 400 000 personnes, femme, homme comme enfant au cours de l’année 2019.
Mais le Rwanda et ses pays voisins restent malgré tout une zone où il faut garder un œil sur l’évolution de la maladie et de la mutation qui a été détecté.
L’alerte a été donnée pour la première fois, depuis 2017 par des experts, mais cette fois-ci le phénomène se développait au Vietnam.
Il s’agit donc ici d’un problème récurrent au fur et à mesure que le temps passe, la maladie évolue et devient de plus en plus difficile à guérir au vu des mutations qu’elle développe.
Les traitements mis en place pour lutter contre cette résistance aux traitements qui est due à cette mutation, sont faits maintenant à base d’artémisinine combinée à un antipaludéen (CTA/ACT).
Cette combinaison est à ce jour la plus efficace et la plus utilisés pour lutter et soigner le paludisme.